TOGO / Pascal Bodjona recouvre la liberté
L’ancien Ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation chargé des collectivités locales et porte parole du Gouvernement, Pascal Akoussoulèlou Bodjona, vient de bénéficier d’une grâce présidentielle. Le Chef de l’Etat a décidé de la libération de son ancien directeur de cabinet après un entretien initié par l’archevêque Monseigneur Barrigah président de la CVJR, en présence de la représentante du HCDH, Ige Olatokumbo et d’autres conseillers à la présidence.
De source proche du dossier, le Chef de l’Etat n’a point donné d’autres explications motivant cette remise en liberté qui va s’élargir dans les prochains jours à celle de Sow Bertin Agba.
Néanmoins, l’ancien bras droit du Chef de l’Etat n’a pas encore franchi les portes de la gendarmerie où il est détenu depuis le 1er septembre. C’est une question d’heures, nous a confié au téléphone une source judiciaire.
Contacté quelques minutes après la notification de la grâce présidentielle, Pascal Bodjona remercie celui qu’il appelle son frère et ami Faure Gnassingbé. Il confie que c’est un incident de parcours et un chemin de croix qui ne le détournent de sa fidélité au Président de la République et de sa contribution au développement du Togo. « C’est Dieu qui est grand, Mon mari Pascal et moi ainsi que nos enfants remercions tous ceux qui nous ont soutenu dans cette épreuve ; toutes nos gratitudes pour ce geste du président Faure» a déclaré Zéina Bodjona, épouse de l’ancien Ministre. Nous poursuivons nos investigations pour plus d’informations sur ce dossier, le temps que nos internautes finissent de déguster le gros poisson d’avril.
Pascal Bodjona est détenu depuis le 1er septembre 2012 à la gendarmerie Nationale dans une affaire d’escroquerie internationale. Le plaignant Abbas Youssef prétendu victime est sous le coup d’une plainte de Loïk Le Floch Prigent libéré dans la même affaire, il y a un mois déjà. L’homme d’affaire Sow Bertin Agba considéré comme le cerveau de l’escroquerie est détenu à la prison de Tsévié et attend lui aussi de franchir les portes de la prison.
C’est la troisième vague de remise en liberté après celle de personnes arrêtées dans l’affaire de tentative d’atteinte à la sûreté de l’Etat et des incendies. L’autre gros morceau se trouve être le demi-frère de Faure Gnassingbé, Kpatcha Gnassingbé
Sans doute une décrispation de la situation socio politique du Togo en ce jour de poisson d’avril.
Alfredo PHILOMENA
Dans le camp de concentration TOGO:
Le dernier fantasme des marionnettes: le gouvernement unir-rpt/ufc se préparerait à frauder les élections !
Le fantôme Koffi Souza alias Charles Debbasch, le Joseph Goebbels (propagandiste Nazi de Hitler) du camp, assassine l´information.
Le consortium UFC/UNIR-RPT, conspire contre le peuple Togolais: Assassinat économique (appauvrir profondément le peuple, prendre son control et l´esclavager), Assassinat politique (arrestations abusives des leaders de l´opposition, incitation au mensonge), torture physique et psychologique (humiliation, dénigrement …)
Mr. Koffi Souza/Charles Debbasch continue, dans son ardeur, la propagande médiatique, la lobotomie de masse pour son employé la coalition du mal UFC/UNIR-RPT.
Ces gens là, croient comme toujours, s´en sortir avec ces méthodes de désinformation et de manipulation de masse… C´est ridicule! Cela ne va plus fonctionner.
Le chef de l´UFC enfonce les doigts dans la plaie déclarant dans une interview: « UFC et UNIR représentent 70% de l’électorat ». http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Medias/UFC-et-UNIR-representent-70-de-l-electorat: Parole d´un tyran marionnette, contremaître du camp de concentration TOGO.
Les médias publics(Etatiques) ne tiennent pas compte de ces rassemblements pacifiques et ils rapportent, se concentrer sur quelques-uns qui agissent (négativement).
Ils ne vous montrent pas les milliers de vidéos prises par des personnes réelles à travers Lomé/Togo chantant pour la paix, la liberté, manifestant pour le changement, le droit et la justice.
Mais à l’époque de la propagande de masse, du mensonge et de l’oppression, de l’imposture universelle, un seul mot de vérité l’emporte sur le monde entier. La vérité est révolutionnaire et le courage est contagieux.
Le peuple prend conscience que le pouvoir c’est lui et non pas ces marionnettes corrompus, nous pensons qu’un pas est franchi et enfin nous pouvons prendre notre propre destin en main.
Nous vivons aujourd’hui dans une société dite de l’information, en continuité avec la période précédente souvent qualifiée de « société industrielle » ; Dans cette société de l’information, les technologies de l’information jouent un rôle fondamental et où les innovations scientifiques et technologiques sont à l’origine de modifications profondes de la société.
Tout simplement parce que le pouvoir, pour prendre une « bonne » décision, doit avoir toute l’information qui lui est nécessaire. Un pouvoir mal informé est un pouvoir qui agira mal ou incomplètement. Ses décisions auront donc des conséquences qu’il n’aura pas sues ou pu calculer convenablement.
D’un autre côté, le pouvoir peut, lui-même, utiliser l’information dans le but d’obtenir un résultat, d’influencer les décisions des autres, par exemple sur le plan politique, économique ou social voire culturelle. C’est ce qu’on appelle la manipulation, la propagande ou la désinformation.
Mais le principe est toujours le même, l’information fait la décision.
En effet un vieil adage dit « celui détient l’information, détient le pouvoir ». Ceux qui croient encore en cet adage refuse donc toute diffusion d’information par peur de perdre leur pouvoir. Mais croire en cet adage implique d’être capable de mesurer la valeur d’une information et surtout sa valeur intrinsèque. Or cette valeur dépend d’un grand nombre de critères comme ses utilisateurs ou sa fraîcheur. En effet, une information sensible pour une personne peut être sans intérêt pour un autre individu. De même, un scoop n’a de valeur que sur une courte période.
Si je crois en la formule « l’information c’est le pouvoir », je suis aujourd’hui profondément convaincu que celui qui détient l’information n’est plus celui qui la détient mais celui qui la diffuse. Internet a pour cela modifié quelque peu la donne; Il en va de même avec l’information qu’avec une innovation: le pouvoir n’est pas à celui qui recherche mais bien à celui qui l’exploite. Mais pour conserver ce pouvoir il faut continuer à rechercher et ce afin d’avoir toujours une innovation d’avance. Pour l’information, en diffuser une seule ne permet pas d’acquérir le pouvoir. En revanche celui qui a toujours la bonne information du moment, celui la acquière un certain pouvoir. Il est toutefois entendu que certaines informations ne doivent pas être diffusées à tous. Il convient bien évidemment de classifier certaines infos et de veiller à ce qu’elle ne soit pas dévoilée, surtout dans le monde de l’entreprise.
Faites attention aux mensonges et la manipulation constante des classes dirigeantes, ils sont des psychopathes et ils sont des maîtres des sectes sataniques (de la déception)! Leurs tours sont nombreux, leurs méthodes dangereuses et cruelles. Ne vous laissez pas berner.
Le Coursier
« Peuple Togolais, par ta foi, ton courage et tes sacrifices, la nation togolaise doit renaître ! »
Pour un Togo libre soutenons le collectif : http://www.collectifsauvonsletogo.com/soutenir-le-collectif
C´est quoi la justice?
Le cri à la justice devient plus fort, plus les gens se sentent injustement traités.
Si ces sentiments atteignent le degré d´ébullition, les masses descendent dans la rue pour réclamer ou demande cette justice.
Si l´on se met maintenant au milieu d’une telle masse de personnes, et demande individuellement, de quelle justice est-il question ici, probablement d’innombrables différentes explications seront données.
Ça dépend probablement de la situation subjective de ce que l’interlocuteur perçoit comme juste ou injuste.
Mais maintenant, disons pour s’amuser, qu´il y aurait chose pareille, comment un bon gouvernement doit procéder pour analyser tous ces sentiments et mener une politique de cette justice? Devrait-il aller à chaque citoyen et mener des enquêtes approfondies? Annuelle, mensuelle ou même au quotidien? Mais oui aussi, les gens changent individuellement d’avis. Ce qui était bon hier, pourrait demain être subjectivement perçu comme mauvais.
Nous voyons que c’est une tâche impossible de rendre le droit pour chacun.
Un bénéficiaire d’aide sociale (assistance sociale), trouve probablement juste que l’Etat lui verse de l’argent parce qu’il est dans le besoin. Le travailleur assidu, juge injuste que l’Etat prélève de son argent pour cette fin. Un autre travailleur ne peut être gêné que pour le montant d’argent qu’on lui prélève pour cette assistance sociale. Nous prenons ici le soin de remarquer que, La Loi fondamentale de tous les États, exige une assistance sociale (aide sociale) pour toutes personnes démunies et selon les situations sociales à chaque lieu. Cette exigence n´est pas contraire au délit du non assistance de personne en danger… Dans les pays occidentaux cette règle est appliquée selon les États, mais l´insatisfaction existe toujours, en Asie et en Amérique latine, nous n´en savons pas trop. Par ailleurs en Afrique cette règle est totalement ignorée à l´exception de la Libye (modèle sociétal mondial) où on enregistre pas d´indignés et de l´Afrique du Sud, qui est en train de s´efforcer pour une minimum d´assistance sociale. Pourquoi n´existe-t-il pas d´assistance sociale en Afrique ?
C’est suffisant de se rendre fou. Il semble que nos bons gouvernements n´ont aucune chance de faire la politique équitable.
Comment peut-il jamais y avoir de justice?
Pas du tout, et c’est ça le problème. Il n’ya pas de justice, sinon elle n’est pas juste.
Ainsi donc, si nous sommes convaincus que la « justice » représente le « bien » et l´ »injustice » le « mal », un État ne peut en aucun cas logiquement être juste et bon, parce que tout simplement il gouverne!
Les Humains sont tous différents et ont des talents individuels, des désirs, des expériences, les caractéristiques génétiques et les motivations. Les Uns peuvent en donner plus et les autres pas du tout. C’est humain et plus précisément animal. C´est ce qui devrait être le maintient de l´équilibre alimentaire et animal.
Tout système qui ne tient pas compte de ces différences individuelles ignore la réalité et ne peut pas être juste. La justice égalitaire est difficile quand elle est toute différente en lieu nation, tribut, coutume religion… !
Par conséquent, il ne peut avoir qu´une justice qui prend en compte nos/ces différences et malgré cela sauvegarde la liberté individuelle égalitaire, la seule véritable justice, qui est la règle.
Les règles doivent s’appliquer à tout le monde. Vous ne pouvez prêter de l´argent à quelqu´un, qui en avait besoin après l´avoir retirer par force de l´autre aussi qui en avait besoin et dire après que c´est la justice.
Seule une société proactive peut montrer la primauté de la justice, car il n’y a personne là qui règne ou domine.
Toute autre forme de société présuppose qu’il ya des personnes qui ont plus des «droits» que d´autres.
Cela ne changerait rien, maintenant de trouver des solutions aux problèmes aigus de notre cohabitation.
Changé le système monétaire, par exemple, en un, qui pourrait fonctionner de manière cohérente, ce serait un changement de régime à tout moment. Il fallait seulement, par les moyens de manipulation médiatique, « installer/instaurer » une conviction chez l´électorat, qu´un changement est absolument nécessaire. Nous vivons actuellement la manière dont cela fonctionne en ce qui concerne le changement climatique et le terrorisme.
Pour que notre monde soit un endroit juste, nous devons trouver et corriger les causes réelles.
Nous devons arrêter de donner á quelques individus le droit d’utiliser la force, ce n’est qu’alors que se résoudront de nombreux problèmes par eux-mêmes.
Le Coursier
La Philosophie, Volontarismes …
Sans DIEU la révolution est impossible,
sans vous elle ne peut pas se faire
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »