Promouvoir l’innovation en Afrique
Un atelier national de formation des membres du réseau de compétences et de partenaires du Fonds d’Aide à la Promotion de l’Invention et de l’Innovation (FAPI) a eu lieu du 02 au 03 octobre dernier à Lomé.
Initiée par l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), l’Institut National de la Propriété Intellectuelle et de la Technologie (l’INPIT) et le gouvernement togolais, cet atelier tenu au siège de la SAZOF, était une occasion pour les membres de démontrer leur talent. Autrement dit de sortir des ténèbres et de mettre à la lumière du jour leurs inventions à l’égard de la population togolaise.
Partant de là, ils exposent ainsi aux yeux du monde entier ce qu’ils ont pu matérialiser après un passage dans le monde des idées. Un autre avantage de cette rencontre est que les inventeurs Togolais ont été élucidés sur la question de la propriété intellectuelle communément appelée droit d’auteur et les fonds qui leur seront alloués pour les accompagner dans leur détermination.
Pour le représentant de la directrice générale de l’INPIT, cette rencontre rentre dans le cadre de l’information et de la sensibilisation de ceux qui innovent sur le territoire togolais : « La sensibilisation sur les questions de propriété intellectuelle, pour la promotion et de la valorisation des inventions, innovations et des résultats de recherches ont été des activités que nous avons eu à exécutées », a-t-il déclaré.
Le même représentant a jeté des fleurs à l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) pour l’accompagnement qu’elle a eu à leur accordé avant de mettre un accent particulier sur la créativité et l’innovation technologique qui donnent de nos jours un coup de pousse à la croissance économique: « La créativité et l’innovation technologique s’imposent de plus en plus comme moteurs essentiels de la croissance économique et de la prospérité des nations parce qu’elles conditionnent la capacité de production et le niveau de compétitivité des entreprises ».
La tenue de cet atelier fut effective, comme il a été susmentionné non seulement grâce aux organisations non gouvernementales mais également au gouvernement togolais.
Jules GOZO, le secrétaire d’Etat représentant le ministre de tutelle a eu à donner son impression sur ces deux jours de rencontre en ce qui concerne les réformes et les aides qui seront octroyées aux futurs innovateurs : « Les résultats attendus de cette réforme sont une promotion de l’invention et de l’innovation à travers la détermination de la valeur scientifique, technique et économique des brevets déposés à l’OAPI et l’octroi de l’aide financière aux inventeurs sans la contrepartie de leur apport personnel. Le FAPI réformé permettra également la mobilisation des financements et la recherche des partenaires ».
S’agissant des partenaires, un fonds destinés aux inventeurs africains est désormais disponibles pour les accompagner au cours de leurs efforts.
Dénommé PIA, le Prix de l’Innovation pour l’Afrique a pour objectif de mobiliser et de donner aux innovateurs et aux entrepreneurs les plus brillants de notre continent, les moyens de concrétiser l’Afrique et son potentialité.
Les deux journées de formation des membres du réseau de compétence de la semaine dernière ont d’ailleurs coïncidé avec le lancement du Prix de l’Innovation pour l’Afrique (PIA), édition 2015.
- LOGOU, qui n’a pas manqué au rendez-vous est le seul Togolais détenteur de ce prix. Prix qu’il a acquis grâce à l’inventeur de FOUFOUMIX, la machine qui permet de transformer l’igname, le manioc, le taro… cuits en pâte, communément appelée foufou.
Il faut signaler que c’était le deuxième qui avait propulsé l’inventeur de FOUFOUMIX au rang de millionnaire. Il avait empoché la bagatelle somme de douze millions cinq cents milles francs cfa (12.500.000 FCFA). Le premier étant fixé à cinquante millions de francs cfa (50.000.000FCFA)
- LOGOU a par ailleurs invité les concitoyens qui œuvrent dans ce domaine, à sortir de l’ombre pour s’inscrire pour le Prix de l’Innovation pour l’Afrique. « Déjà, lorsque je faisais partie des dix premiers, certains avantages m’étaient accordés », a-t-il clamé.
Hyacinthe GNAMEGLO
Un atelier national de formation des membres du réseau de compétences et de partenaires du Fonds d’Aide à la Promotion de l’Invention et de l’Innovation (FAPI) a eu lieu du 02 au 03 octobre dernier à Lomé.
Initiée par l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), l’Institut National de la Propriété Intellectuelle et de la Technologie (l’INPIT) et le gouvernement togolais, cet atelier tenu au siège de la SAZOF, était une occasion pour les membres de démontrer leur talent. Autrement dit de sortir des ténèbres et de mettre à la lumière du jour leurs inventions à l’égard de la population togolaise.
Partant de là, ils exposent ainsi aux yeux du monde entier ce qu’ils ont pu matérialiser après un passage dans le monde des idées. Un autre avantage de cette rencontre est que les inventeurs Togolais ont été élucidés sur la question de la propriété intellectuelle communément appelée droit d’auteur et les fonds qui leur seront alloués pour les accompagner dans leur détermination.
Pour le représentant de la directrice générale de l’INPIT, cette rencontre rentre dans le cadre de l’information et de la sensibilisation de ceux qui innovent sur le territoire togolais : « La sensibilisation sur les questions de propriété intellectuelle, pour la promotion et de la valorisation des inventions, innovations et des résultats de recherches ont été des activités que nous avons eu à exécutées », a-t-il déclaré.
Le même représentant a jeté des fleurs à l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) pour l’accompagnement qu’elle a eu à leur accordé avant de mettre un accent particulier sur la créativité et l’innovation technologique qui donnent de nos jours un coup de pousse à la croissance économique: « La créativité et l’innovation technologique s’imposent de plus en plus comme moteurs essentiels de la croissance économique et de la prospérité des nations parce qu’elles conditionnent la capacité de production et le niveau de compétitivité des entreprises ».
La tenue de cet atelier fut effective, comme il a été susmentionné non seulement grâce aux organisations non gouvernementales mais également au gouvernement togolais.
Jules GOZO, le secrétaire d’Etat représentant le ministre de tutelle a eu à donner son impression sur ces deux jours de rencontre en ce qui concerne les réformes et les aides qui seront octroyées aux futurs innovateurs : « Les résultats attendus de cette réforme sont une promotion de l’invention et de l’innovation à travers la détermination de la valeur scientifique, technique et économique des brevets déposés à l’OAPI et l’octroi de l’aide financière aux inventeurs sans la contrepartie de leur apport personnel. Le FAPI réformé permettra également la mobilisation des financements et la recherche des partenaires ».
S’agissant des partenaires, un fonds destinés aux inventeurs africains est désormais disponibles pour les accompagner au cours de leurs efforts.
Dénommé PIA, le Prix de l’Innovation pour l’Afrique a pour objectif de mobiliser et de donner aux innovateurs et aux entrepreneurs les plus brillants de notre continent, les moyens de concrétiser l’Afrique et son potentialité.
Les deux journées de formation des membres du réseau de compétence de la semaine dernière ont d’ailleurs coïncidé avec le lancement du Prix de l’Innovation pour l’Afrique (PIA), édition 2015.
- LOGOU, qui n’a pas manqué au rendez-vous est le seul Togolais détenteur de ce prix. Prix qu’il a acquis grâce à l’inventeur de FOUFOUMIX, la machine qui permet de transformer l’igname, le manioc, le taro… cuits en pâte, communément appelée foufou.
Il faut signaler que c’était le deuxième qui avait propulsé l’inventeur de FOUFOUMIX au rang de millionnaire. Il avait empoché la bagatelle somme de douze millions cinq cents milles francs cfa (12.500.000 FCFA). Le premier étant fixé à cinquante millions de francs cfa (50.000.000FCFA)
- LOGOU a par ailleurs invité les concitoyens qui œuvrent dans ce domaine, à sortir de l’ombre pour s’inscrire pour le Prix de l’Innovation pour l’Afrique. « Déjà, lorsque je faisais partie des dix premiers, certains avantages m’étaient accordés », a-t-il clamé.
Hyacinthe GNAMEGLO
Un atelier national de formation des membres du réseau de compétences et de partenaires du Fonds d’Aide à la Promotion de l’Invention et de l’Innovation (FAPI) a eu lieu du 02 au 03 octobre dernier à Lomé.
Initiée par l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), l’Institut National de la Propriété Intellectuelle et de la Technologie (l’INPIT) et le gouvernement togolais, cet atelier tenu au siège de la SAZOF, était une occasion pour les membres de démontrer leur talent. Autrement dit de sortir des ténèbres et de mettre à la lumière du jour leurs inventions à l’égard de la population togolaise.
Partant de là, ils exposent ainsi aux yeux du monde entier ce qu’ils ont pu matérialiser après un passage dans le monde des idées. Un autre avantage de cette rencontre est que les inventeurs Togolais ont été élucidés sur la question de la propriété intellectuelle communément appelée droit d’auteur et les fonds qui leur seront alloués pour les accompagner dans leur détermination.
Pour le représentant de la directrice générale de l’INPIT, cette rencontre rentre dans le cadre de l’information et de la sensibilisation de ceux qui innovent sur le territoire togolais : « La sensibilisation sur les questions de propriété intellectuelle, pour la promotion et de la valorisation des inventions, innovations et des résultats de recherches ont été des activités que nous avons eu à exécutées », a-t-il déclaré.
Le même représentant a jeté des fleurs à l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) pour l’accompagnement qu’elle a eu à leur accordé avant de mettre un accent particulier sur la créativité et l’innovation technologique qui donnent de nos jours un coup de pousse à la croissance économique: « La créativité et l’innovation technologique s’imposent de plus en plus comme moteurs essentiels de la croissance économique et de la prospérité des nations parce qu’elles conditionnent la capacité de production et le niveau de compétitivité des entreprises ».
La tenue de cet atelier fut effective, comme il a été susmentionné non seulement grâce aux organisations non gouvernementales mais également au gouvernement togolais.
Jules GOZO, le secrétaire d’Etat représentant le ministre de tutelle a eu à donner son impression sur ces deux jours de rencontre en ce qui concerne les réformes et les aides qui seront octroyées aux futurs innovateurs : « Les résultats attendus de cette réforme sont une promotion de l’invention et de l’innovation à travers la détermination de la valeur scientifique, technique et économique des brevets déposés à l’OAPI et l’octroi de l’aide financière aux inventeurs sans la contrepartie de leur apport personnel. Le FAPI réformé permettra également la mobilisation des financements et la recherche des partenaires ».
S’agissant des partenaires, un fonds destinés aux inventeurs africains est désormais disponibles pour les accompagner au cours de leurs efforts.
Dénommé PIA, le Prix de l’Innovation pour l’Afrique a pour objectif de mobiliser et de donner aux innovateurs et aux entrepreneurs les plus brillants de notre continent, les moyens de concrétiser l’Afrique et son potentialité.
Les deux journées de formation des membres du réseau de compétence de la semaine dernière ont d’ailleurs coïncidé avec le lancement du Prix de l’Innovation pour l’Afrique (PIA), édition 2015.
- LOGOU, qui n’a pas manqué au rendez-vous est le seul Togolais détenteur de ce prix. Prix qu’il a acquis grâce à l’inventeur de FOUFOUMIX, la machine qui permet de transformer l’igname, le manioc, le taro… cuits en pâte, communément appelée foufou.
Il faut signaler que c’était le deuxième qui avait propulsé l’inventeur de FOUFOUMIX au rang de millionnaire. Il avait empoché la bagatelle somme de douze millions cinq cents milles francs cfa (12.500.000 FCFA). Le premier étant fixé à cinquante millions de francs cfa (50.000.000FCFA)
- LOGOU a par ailleurs invité les concitoyens qui œuvrent dans ce domaine, à sortir de l’ombre pour s’inscrire pour le Prix de l’Innovation pour l’Afrique. « Déjà, lorsque je faisais partie des dix premiers, certains avantages m’étaient accordés », a-t-il clamé.
Hyacinthe GNAMEGLO