Ceux qui se proclament avec zèle de l’UFC, parti de Gilchrist Olympio ne semblent pas comprendre à ce jour qu’ils ont été et qu’ils continueront à être remerciés en monnaie de singe. Chassés du parti, éloignés des affaires du parti, privés de avantages et deals opérés avec le pouvoir, jeter au gémonies. Jean Luc Homawoo, le très tonitruant responsable de la jeunesse se cherche dans un parti dont il réclame une certaine influence.
Il est l’un de ceux qui continuent à faire la propagande de Gilchrist Olympio et d’un accord ridicule et honteux avec le pouvoir, depuis la dislocation du parti.
Les autres, Djimon Oré, Nicodème Habia, et les anciens lieutenants qui ont crée l’ANC ne se retrouvent plus en ce leader rangé dans l’histoire.
Quant à Jean Luc Homawoo, il faut comprendre qu’il rase systématiquement les murs. Langage clair.
Après un bref passage à la CEET d’où il a été viré comme un malpropre, il a rodé longtemps autour de Fo Gil sans gain de cause avant de se forger un tremplin dénommé Les Templiers qui non plus, ne lui a permis de se retrouver.
Emission et publications tapageuses sur les médias et réseaux sociaux n’ont attiré l’attention de personne. Comme s’il n’était qualifié en rien.
Alliance Togo Informatique
C’est la nature réelle de Gilchrist Olympio qui s’offre , à lui seul, tous les avantages dans le fameux accord avec le parti au pouvoir RPT/UNIR.
Isaac Tchiakpé, l’autre mousquetaire, lui a continuellement ramé à contre-courant dans les eaux troubles, espérant trouver sa place au soleil.
C’est mal connaître la nature désinvolte de Gilchrist Olympio qui a abusé de la confiance des millions de togolais pendant plusieurs années avec de se retrouver dans la position du roi de Prusse pour qui, les gens se battent, se tuent, se sacrifient, pour un gros zéro.
Quand au zélé de Jean Luc Homawoo, il vaudrait mieux qu’il change de fusil d’épaule en rejoignant l’opposition démocratique. Cela lui apporterait plus de respect et de dignité dans un pays où une seule famille a décidé de prendre en otage le peuple. Cela lui siérait que de continuer à travailler pour le Roi de Prusse dans le dénuement.
Alfredo Philoména
