D’importantes personnalités étaient présentes lundi dernier à la présentation officielle des Mémoires de Gervais Koffi DJONDO, « L’Afrique d’abord ». Une présentation faite au cours d’une cérémonie solennelle qui a rassemblé des invitées de marques notamment, les hommes de lettres, les hommes d’affaires et politiques et surtout les jeunes cibles privilégiées de l’auteur auprès de qui il veut inculquer les valeurs du panafricanisme et de l’entreprenariat.
Après les mots de bienvenus de Paul Harry Aithnard, administrateur Directeur général et Directeur Régional UEMOA de Ecobank qui a salué la présence d’illustres personnalités, les interventions ont présenté l’auteur du livre comme une référence africaine.
A commencer par l’historien Elikia Mbokolo, qui a fait l’historique du livre, de la rencontre avec Gervais Djondo, à l’entretien, des témoignages aux révélations, et du profil rigoureux de l’Homme qui reste une référence africaine en matière de l’histoire des grands hommes qui ont réussi et qui font la fierté de l’Afrique. Il a évoqué Kwame N’krumah en comparaison à Gervais Djondo dans les idéaux panafricanistes. Pour lui, le Patriarche de Djondo Kondji est une référence panafricaine pour l’émergence de ce continent tutoyé et insulté à travers le monde.
Pour lui, avec Djondo, l’Afrique peut se réjouir, face à l’émergence de certaines nouvelles nations comme le Japon, la Chine et même l’Inde qui ne se cessent de surprendre le monde. Il a fait référence à Ecobank, principale banque de son pays d’origine la RDC et ASKY qui reste une autre fierté.
Tour à tour
Vint donc l’auteur, Gervais Djondo, dans un style amuseur, satisfait et ému par l’attention et la mobilisation autour de sa personne, salué son entourage, les gens qui ont aidé à la réussite de toutes ces initiatives. Togolais, Camerounais, Nigérians, Ethiopien font partie de la réussite de Gervais Djondo dans le sens panafricaniste du terme.
Pour lui, l’Afrique regorge de beaucoup de potentialités qu’il faille développer pour la mettre au devant des scènes.
L’Afrique est donc l’avenir. Demain donc, c’est l’Afrique. Pour ce faire, il a mis l’accent sur le secteur privé qui doit intéresser beaucoup les jeunes. Il a touché du doigt le secteur agricole, une véritable mine d’or pour l’Afrique.
Après les jeunes, les femmes doivent être associées, selon l’auteur au développement de l’Afrique. Elles sont braves, travailleuses et intelligentes. Porteuses de réussite de grands projets. Un clin d’œil qui a suscité la joie et l’allégresse des femmes dans la salle. L’auteur n’a pas manqué de remercier vivement tous ceux qui se sont mobilisés autour de sa personne et qui ont cru en lui.
Après la dédicace officielle, l’auteur entouré de l’historien et de Paul Harry Aithnard se sont livrés à des questions des journalistes. Un
L’Afrique d’Abord, c’est d’abord, l’histoire personnelle de Gervais Djondo, son parcours et sa vision sur l’initiative privée et l’émergence d’une Afrique de demain. Une conférence de presse qui a permis à l’auteur de répondre à différents sujets de l’heure, notamment, les guerres et les violences xénophobes en Afrique qui contrastent avec son optimisme pour une Afrique meilleurs de demain.
L’Ouvrage « L’Afrique d’abord, Africa first » est paru le jeudi 4 juillet dernier aux éditions « Présence africaine ». Il est préfacé par Donald Kaberuka, ancien président de la Banque africaine de développement et par Arnold Ekpe, qui a notamment été Directeur général du groupe Ecobank,
A travers son ouvrage, Gervais Koffi Djondo invite les jeunes africains en quête de modèles à s’inspirer de ses idées et de ses riches expériences pour construire l’Afrique de demain.
Le livre parle également du regroupement des Etats Africains en entités plus grandes, alliés du commerce interafricain qui favoriserait la réussite
Il est préfacé par Donald Kaberuka, ancien président de la Banque Africaine de Développement et Arnold Ekpe, l’ancien Directeur Général du groupe ECOBANK.
Diane OLOBI