Si avec le temps, la barbe est devenue un objet de mode dont la popularité n’est plus à démontrer, elle est en passe de devenir l’un des remèdes les moins coûteux de la planète.
Selon Mother Nature Network, la pilosité faciale possède des bienfaits concernant de nombreux symptômes. Notamment en ce qui concerne les risques liés à l’exposition au soleil. Dans une étude publiée par le Radiation Protection Dosimetry journal, on apprend que la barbe freinerait les rayons UV à 90% voire 95%.
Les cancers de la peau, le mélanome ou, plus simplement, les coups de soleil pourraient ainsi être évités en prenant soin de ne plus se raser le matin. Mieux encore, la barbe préserve l’état de la peau qui, lorsque elle est trop exposée aux rayons de soleil, est amenée à vieillir.
La barbe et, par extension, la moustache seront aussi très utiles pour prévenir les formes d’asthme et d’allergies. Les poils filtrent l’air et ne laissent alors aucune chance aux allergènes d’entrer dans les narines.
Face aux rhumes et aux maladies chroniques, la barbe a aussi son petit effet. En réchauffant le cou, la nuque et les bronches, les poils constituent une véritable muraille aux températures hivernales les plus rudes. Le docteur Felix Chua, cité par MNN, parle là d’un «isolant», d’une «barrière physique au froid».
Et pour faire taire ceux qui disent qu’il n’y a rien de plus sale qu’une barbe, le site dégaine un dernier argument: les conséquences cutanées du rasage. Le rasage à blanc accentue l’apparition de boutons et les infections bactériennes de la peau comme la folliculite.
Le site Health Guidance énumère d’autres avantages à porter la barbe ou la moustache. Des arguments économiques d’abord: plus de besoin d’écharpe. Des arguments sanitaires: si on ne se rase plus, on ne risque plus de se couper. Aussi, on y évite le risque de piqûre par les insectes. Tout simplement parce que les insectes sont davantage attirés par (…) Lire la suite sur Slate.fr