Il y a des choses impossibles qui se passent a FUCEC Togo, qui risquent de provoquer la chute de cette institution de micro finance. Les préjudices créés par les comportements du Président du Conseil d’Administration qui résume la COOPEC Solidarité en sa seule personne. Le mécontentement est généralisé et la grogne est imminente. Il s’appelle FANIDJI Yaovi, il est le président du Conseil d’Administration de la Coopérative d’épargne et de crédit COOPEC Solidarité. Les employés de l’institution se plaignent depuis plusieurs mois des dérives de ce responsable qui a décidé de façon unilatérale de geler des activités et des avantages du personnel pourtant intégrés au budget.
Par exemple, à la fin de chaque année, sur exécution du budget, la coopérative achète des étrennes et des boissons pour offrir au personnel, aux partenaires fidèles et aux élus. Initiative qui a pour but de remercier les uns, d’encourager les autres sur leur engagement à servir la coopérative. Sans concertation aucune, le sieur Yaovi a procédé à la suspension pure et simple de cette action et a demandé que les boissons par exemple soient vendues aux enchères, une décision qui fragilise naturellement le niveau de confiance et la motivation du personnel. Le sieur Fanidji se moque de tous, même des membres du conseil d’administration. Dans une institution sérieuse, le PCA, fut-il le premier responsable n’a pas le droit de toucher à des décisions adoptées ou prises par le conseil sans l’aval des autres membres. Ce n’est pas le cas chez le PCA de COOPEC qui se donne le plaisir de supprimer purement et simplement des postes budgétaires après adoption par le Conseil d’Administration, réunit en sa 4eme session budgétaire.
Une première fois dans l’histoire de la gestion où le PCA seul se réunit, et supprime des postes budgétaires, sans écouter ses paires. Même dans une épicerie, l’humilité et l’écoute des paires doivent être des préalables, pour le respect de la dignité humaine des clients.
Tous les membres qui tentent de s’opposer à ses décisions sont menacés ou mis en quarantaine. Il évoque souvent la BCEAO pour justifier ses forfaits alors qu’en aucun cas, la banque centrale ne peut se donner le luxe d’encourager le fait que les conditions de vie et de travail des employés d’une institution de microfinance soient revues à la baisse.
D’ailleurs les recommandations de la BCEAO et de la commission bancaire dont il se prévaut, ne lui autorisent en rien ces dérives.
Or, lui-même ne s’applique pas cette rigueur qu’il transforme en austérité. Omniprésent dans les locaux de la COOPEC, il multiplie sa présence sur les lieux dans le but de toucher ses perdiems au quotidien.
Beaucoup de personnes nous ont fait des témoignages sur le business qu’organise le sieur Fanidji avec son titre.
D’après des experts en microfinance que nous avons contactés, cette attitude du PCA de Coopec viole les statuts de la COOPEC, les procédures et les dispositions du plan d’affaires adoptées par l’assemblée, l’organe suprême, de qui, il prétend détenir son mandat.
En sa qualité de PCA il devrait plutôt être le garant des statuts et des procédures, ce qui n’est pas le cas. Se maintenant dans cette position de violation, il fait courir un gros risque sur les dépôts des membres qui se chiffrent à la clôture des comptes 2013 à environ 30 milliards de FCFA. Ce sont les dépôts des membres qui risquent fort.
Plusieurs dérives au niveau de la gouvernance à la COOPEC sont signalées et elles finiront naturellement, si elles persistent par conduire à des contre-performances qui aboutiront à une crise d’impayés.
Dans ce cas, les dépôts des membres de COOPEC sont sérieusement menacés.
D’après nos informations, personne d’autre ne peut empêcher le PCA de Coopec Solidarité de faire plonger l’institution si ce n’est la Faîtière qu’est la FUCEC-TOGO ou le Conseil de Surveillance ou encore le Ministre des Finances. Toutes ces personnes sont sans doute déjà informées et pourront prendre les dispositions qui s’imposent pour arrêter l’hémorragie.
Le monde des finances au Togo est marqué par la multiplication des structures de microfinance. Toutes ne sont pas bonnes, toutes ne sont pas pures. Et c’est dans la foulée de la concurrence que Yaovi Fanidji excelle dans les dérives à faire couler la boîte.
FUCEC-TOGO est l’une des premières institutions de micro finances au Togo qui rassemble aujourd’hui des centaines de milliers de membres. Une crise dans cette institution risquera d’affecter la situation des finances au Togo et inévitablement une crise systémique. Nous appelons à la responsabilité des dirigeants de la FUCEC-TOGO, qui dans son rôle de Faîtière, qui est celui, selon la Loi n°2011-009, à qui revient le rôle de représentation des Coopec du réseau.
Nous reviendrons dans sur des détails dans cette affaire d’argent qui affecte toute une population de membres et qui indexe rigoureusement un homme nommé Yaovi Fanidji.
Carlos KETOHOU
seuls les personnes qui ne connaissent pas ce monsieurs seront tentées de croire a cet article qui est vide,aucune verité,il n’a fait que raconter des aberations.ce n’est que l’une de ses sotises pour pouvoir vendre la presse.Il a juste envie de semer la confusion dans la tête des honnêtes membres qui ne veulent que la FUCEC protegent leurs dépôts.combien ils t’ont payés pour que tu ecrive cet article?
Vraiment c’est trop dire, ne prononcez pas ce malheur de cette manière facile sur cette boite s’il vs plait. Il est vrai que les responsables affichent tres souvent ses genres de comportement mais aucun lien avec un éventuellement dissolution de cette institution qui aide plus d’un. Soyons plutot positifs envers tout ce qui marche.