Que Cupidon vienne de vous décocher sa flèche ou que vous partagiez déjà un bonheur à deux, vous voilà fortifiée par un étonnant remède antistress, antalgique… Son nom ? L’amour.
Depuis quelque temps déjà, votre cœur palpite étrangement, votre gorge se noue, la tête vous tourne et tous vos sens sont en émoi ? Mais de quel mal souffrez-vous donc ? Si vous présentez ces symptômes, vous avez de la chance car, pas de doute, c’est l’amour ! Certes, ce sentiment échappe à toute explication rationnelle mais, passé au crible scientifique, il n’en finit pas de nous surprendre. Les élans de notre cœur déclenchent en effet une cascade de réactions biologiques et hormonales, et ce, dès les premiers instants. Et des études révèlent, peu à peu, leurs bienfaits sur notre santé physique et morale. Revue de détails sur ce sentiment universel…A lire aussi:Sexo et psycho: 5 questions sur nos relations amoureuses
L’amour serait-il le plus naturel des antidépresseurs ? Dès la rencontre avec l’être aimé, c’est à un feu d’artifice hormonal auquel on assiste. Des neurotransmetteurs et hormones de l’excitation (adrénaline, noradrénaline, dopamine) sont libérés, provoquant l’augmentation du rythme cardiaque, de la température et toutes les manifestations physiques de l’émotion amoureuse soudaine : le cœur s’emballe, les jambes flageolent, les mains deviennent moites… Mais celle qui met le feu aux poudres, c’est la phényléthylamine (ou PEA), qu’on trouve d’ailleurs en faible quantité dans le chocolat, aliment réputé antidépresseur par excellence. Sécrétée en très grande quantité par les amoureux au moment des premiers émois et pendant les premières années, cette « amphétamine » naturelle, produite par le cerveau, a des effets similaires à ceux causés par certaines drogues. Les amoureux se sentent optimistes, rajeunis, plein d’énergie, d’allégresse, voire euphoriques. De plus, ce sentiment s’accompagne d’une augmentation de la sécrétion de sérotonine, une (…) Lire la suite sur TopSante.com