Encore des problèmes à MOOV-TOGO
L’indélicatesse est MOOV Togo. L’amateurisme est Moov. La direction de la société de téléphonie du groupe Etisalat au Togo Moov a des problèmes avec certains employés. La société s’apprête à compresser presque une vingtaine de personnel dans le domaine technique pour des raisons qui ne relèvent pas de la responsabilité de ces employés. Il a fallu l’intervention de Cina Lawson, ministre des télécommunications pour que le licenciement abusif programmé soit suspendu et provisoirement.
L’affaire couvait depuis le mois de juillet 2013 où le groupe Moov, dans un partenariat avec le groupe Ericsson compte expérimenter certains matériels techniques. L’utilisation de ces matériels d’après nos informations devrait libérer un certains nombre d’activités manuelles. Ce qui va coûter les postes à certains employés qui travaillent dans ce secteur.
Sans aucune discussion et sans avertissement préalable, le PDG de MOOV Togo, Djibril Ouattara s’apprêtait à licencier de façon abusive ces agents lorsque ceux-ci se sont rendus compte de la manœuvre et ont engagé des réunions en mobilisant les autres employés. Le directeur, fidèle à son intention et refusant de trouver une solution intermédiaire a donné un délai de rigueur fixé à la fin du mois de janvier 2014 pour la fin du contrat avec ces employés.
C’est ainsi que les menaces ont commencé à peser sur ces agents depuis la fin du mois dernier. N’ayant pas d’interlocuteur au niveau de la direction pour les écouter, les employés se sont confiés à la ministre des télécommunications, Cina Lawson qui a demandé le maintien au travail de ces derniers en attendant qu’un compromis soit trouvé.
Devant le mépris de leur Directeur Général, l’ivoirien Djibril Ouattara, jugé par la plupart des employés comme négligeant et insensible aux problèmes de la boîte et des employés, ceux ne connaissent aujourd’hui pas leur sort et comptent sur le soutien de leur collègues pour dérouter le patron dans son ambition de les licencier.
Toutes les démarches menées pour avoir l’avis de la Direction ont été vaines. Le Directeur commercial nous a confié que cela ne relève pas de sa responsabilité, la Direction des ressources humaines se déclare incompétente pour discuter de cette question, le département de la communication n’en veut pas entendre parler et pense que c’est seul le Directeur Général qui peut répondre. On se demande pourquoi tout le monde fuit cette question qui relève pourtant du fonctionnement de la boîte.
D’après des indiscrétions pourtant, le DG aurait rassuré à plus d’un que le sort de ces agents est scellé. Il argue qu’ils peuvent s’adresser à tous les tribunaux du monde, ils seront licenciés.
Ce qui crée un climat de torpeur au sein de la boîte Moov surtout que les autres employés ne savent pas ce qui les attend.
Moov Togo s’est déjà illustré dans la négativité. La société avait déjà été suspendue pendant plusieurs mois pour non paiement de redevances. C’est à quelques jours du retrait définitif de la licence qu’elle s’est précipitée pour se mettre en règle. Les clients victimes de cette suspension continuent de se plaindre.
Moov Togo est le second opérateur de téléphonie mobile au Togo. Son réseau n’est pas assez fixe. Il flotte et crée des désagréments fréquents aux clients. C’est pourquoi la plupart des étrangers qui débarquent au Togo préfèrent un autre réseau que Moov, de peur d’avoir des surprises désagréables dans leur communication.
Alfredo Philomena
Quelques lumières sur cette saga qui dure depuis plus d’un an.
Depuis la reprise de Moov après coupure, les démarches ont commencé pour externaliser certaines parties de la société à des prestataires externes. Comme quoi, pour emboîter le pas des grands groupes comme Airtel, Orange, MTN, AT&T en laisser surtout la partie technique aux équipementiers Telecom comme Alcatel Lucent, Huawei, Ericsson…
Depuis le 1er mai 2013, Moov a ainsi cédé la maintenance et l’exploitation de son réseau à Ericsson avec 37 de ses employés de la Direction Technique sur des bases non déclarées, certains sont toujours restés à Moov. D’où un transfert qui s’est produit dans des situations lugubres et abusives. Après (01) un an Ericsson annonce une restructuration en parlant d’abord de licenciement collectif qui s’est soldé finalement par l’annonce du licenciement de 14 employés avec des conditions de départ qui laissent à désirer et non négociables malgré les différentes discussions entre Ericsson et ces employés.
Tout ce temps Moov faisait l’indifférent et a répondu à une requête d’assistance qu’il n’est plus concerné par ceci, montrant ainsi son indifférence.
A ce jour ce processus mis en « Stand By » suite à l’ingérence du Ministère de l’Economie Numérique ne présage pas trop une issue favorable. Moov Togo est une filiale du groupe Etisalat et Ericsson une multinational qui applique les mêmes restructurations ailleurs voir aux USA.
Mais le gouvernement togolais peut exiger de chaque société étrangère installée au Togo à suivre certaines règles de conduite en faveur des nationaux. S’agissant ainsi du cota du personnel, de la grille salariale, des primes .. (pour nationaux et expatriés).
A Moov particulièrement, les ivoiriens et les autres étrangers sont les princes à cheval et les togolais sont les esclaves qui tirent les chevaux malgré que le togolais est un laborieux très conscients voir trop zélé des fois. Contrairement à l’ivoirien fêtard, tchatcheur et paresseux… A vous de comprendre !!!
il faut dire que dans cette histoire il en ressort qu’il y a un second complice aussi coupable appelé ericsson ab Togo (l’équipementier de moov).
le climat de travail est devenu délétaire suite à toutes ces manoeuvres orchestrées par moov Togo et son complice ericsson Togo pour le bien du profit excessif.
il est à noter que plusieurs situations sont à dénoncer et à corriger au sein de moov Togo. déjà le plétore des directeurs issue d’une seule et même nationalité avec la mafia qu’il organisent et l’inégalité des traitements selon qu’on soit un employé ivoirien venu de la côte d’ivoire .
il faut dire que ce groupe ne fait que la la promotion des ivoiriens. le noeud de cette histoire de licenciement reflète aussi le favoritisme.
Le grand souci avec moov et son complice ericsson est qu’ils refusent d’indemniser les licenciés comme celà se doit. déjà il y a eu transfert des employés technique de moov vers ericsson et c’est ericsson ki est en train d’exécuter le sale boulot de licenciement.
lors du transfert moov togo n’a pas indemniser les transférés du fait de sa mauvaise foie et de sa cupidité.
il faut médiatiser le problème à grande échelle car c’est un problème social créé par une multinationale. inviter les autres collègues journalistes à s’approprier ce problème d’ordre nationale , à mener des investigations et à dénoncer ce traitement que moov Togo reserve à des compatriotes. c’est des centaines de millions par jour et plus de 4 milliards par mois de chiffre d’affaire ke fait moov Togo sur le dos des consommateurs togolais (il n’a aucun problème financier et il n’y a pas également de mutation technologique en cours pour arriver à toute cette situation). la cupidité organisée avec ericsson ab Togo est qu’un centre technique régionale est créée à abidjan oû est versé des indiens et ivoiriens issue de moov cote d’ivoire ki vont gérer à distance la pluspart des activités et les activités de terrains seront confiées aux étrangers tels que des ivoiriens également : c’est çà la réalité.
tout ce argent est pris et expatrié après car moov Togo ne fait aucun investissement réel dans notre pays.
Waoooooooo !!!
Une telle situation perdure dans ce pays et les consommateurs n’en sont pas au courant ??? Cette situation doit être massivement médiatisée.
Moov Togo, Ericsson Togo, tout ça il paraît que tout est ivoirien et que le soi-disant Ericsson Togo n’est qu’une forme de franchise du vrai Ericsson orchestrée et dirigée par des ivoiriens pour se taper des sous et faire la belle vie comme d’habitude au dépens des togolais. Le togolais aussi veut s’enrichir et faire la belle vie. On en a la compétence et la capacité…
Moov Togo ne profite pas à l’économie togolaise selon les analyses et nul ne veut le dire malgré ses services innovants et ses multiples offres qui font perdre la tête aux clients.
A part les redevances à l’ART&P, les frais de licence acquise et le financement du concours de la honte et des têtes vides « Miss Togo », les avoirs de la filiale d’Etisalat sont envoyés directement à l’extérieur et ne profitent qu’aux directeurs (sur 7 directeurs, 1 seul est togolais) aux gros salaires-primes-bonus, à la Côte d’ivoire, car le fameux Bernard Koné Dossongui est toujours actionnaire et aux arabes qui n’ont que faire de petites recettes africaines faisant partie des faiseurs de l’économie ivoirienne.
Le gouvernement togolais doit durcir les conditions d’installation des groupes et multinationales au Togo, leur cahier de charge, les closes de licenciement d’un national, le quota de recrutement des nationaux et étrangers.
Il est temps de faire le ménage au sein de l’appareil privé et parapublique. Le Togo n’est pas une poubelle ni un pâturage voir une cours de récréation.
Et que les étrangers arrêtent de dire qu’au Togo tout est permis, que les togolais sont des faibles et ignorants, qu’on peut s’enrichir facilement sur le dos des togolais sans que ça ne leur profite, qu’ils peuvent marcher sur le togolais chez lui sans que les dirigeants ne disent rien … Merde Merde Assez Assez !!!!
C’est vraiment dommage, il y a qu’au Togo qu’on peut voir ça!
Qu’ils viennent faire ça en Guinée ou au Gabon!