A vendre, cinq shillings, ma femme, Jane Flebbarcl. Elle est bien bâtie, ferme sur ses pattes, une vraie poutre maîtresse. Elle sème et elle récolte, elle laboure et mène ses hommes, et elle tiendrait tête à n’importe quel gaillard qui tient les rênes serrées, parce qu’elle est butée comme un âne et que c’est une sacrée forte tête ; mais bien menée, elle serait douce comme un agneau. Il lui arrive de commettre des faux pas. Son mari s’en sépare parce qu’elle est trop pour lui.
N B : Tous ses vêtements seront donnés avec elle.Leeds Mercury, gazette régionale, 7 juin 1879
Non, ce n’est pas une blague, mais bien une coutume observée en Angleterre à la fin du 17ème et jusqu’au début du 20ème siècle !!!
La vente était annoncée à l’avance par voie de publicité dans la gazette locale. Elle prenait la forme d’une vente aux enchères, souvent lors d’un marché. La femme y était menée par un licol généralement une corde mais parfois un ruban, attaché autour de son cou, de sa taille ou de son bras. Le prix pouvait varier entre un verre de bière et 100 £ soit 13 000 € aujourd’hui !
La vente d’une épouse permettait de mettre fin, par consentement mutuel, à un mariage insatisfaisant, le divorce n’étant accessible qu’aux plus riches.
Cette coutume, qui à l’heure actuelle peut choquer, peut se justifier et sembler moins barbare qu’elle n’y paraît.
Tout d’abord, dans l’Angleterre de l’époque, ainsi que partout en Europe, on se mariait par obligation, convenance ou filiation, mais jamais par amour. Une fois attachée à l’époux, la femme devenait pour son mari un bien comme un autre, sans droits ni possession. L’époux en échange, devait répondre aux besoins de sa femme.
Aujourd’hui, si mésentente il y a, les gens divorcent. Mais à l’époque géorgienne, on ne pouvait divorcer qu’en cas d’adultère avéré ou de violences cruelles et répétées. Et qui plus est, divorcer coûtait cher. Il restait donc comme solution pour les pauvres gens malheureux en amour : la fuite ou la vente aux enchères !
Une solution qui arrangeait aussi bien l’homme que la femme. D’ailleurs la vente ne pouvait se faire que par consentement mutuel. En général, l’époux y recourait parce qu’il avait besoin de liberté ou d’argent. Quant à la femme, il s’agissait d’échapper à la brutalité, l’alcoolisme ou la pauvre naissance de son mari. Et oui, une vente permettait souvent à la femme de s’élever socialement en étant achetée par un mari plus âgé, plus riche et de meilleure condition.
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Nous sommes le 7 août 1965 à San Pedro de los Altos au Venezuela. Deux hommes d’affaire et un gynécologue se trouvaient dans les écuries d’un centre d’équitation lorsqu’ils furent témoins d’un étrange éclair de lumière : ils virent alors descendre un objet sphérique qui se dirigeait vers le sol avec un léger bourdonnement. Puis deux créatures humanoïdes aux cheveux blonds dorés en sortirent.
Par télépathie, ces êtres venus de l’espace signifièrent aux trois hommes de garder leur calme. Ils leur déclarèrent qu’ils étaient venus ‘étudier les psychés des humains pour les adapter à leur espèce’ et aussi ‘examiner la possibilité de croisement en vue de créer une nouvelle espèce hybride’.
Ils rapportèrent aussi qu’ils n’était seuls dans leur démarche et que des créatures plus petites d’une autre race que les ufologues appellent ‘Gris’ rendraient elles aussi visite à la Terre mais étaient nettement moins bien disposées à l’égard des humains. Ils conseillèrent donc aux trois hommes de s’en méfier !
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En 1924, l’archéologue anglais Mitchell-Hedges accompagné de sa fille Anna découvre un fascinant exemple d’art Maya dans les ruines d’un temple de la cité Maya ‘des pierres tombées’ à Lubaantùn au Belize. Il s’agit d’une reproduction parfaite, hormis l’absence de sutures crâniennes, d’une tête humaine féminine sculptée dans un bloc de cristal de quartz massif.
La manière dont les Mayas réussirent à sculpter une telle oeuvre reste un mystère. Selon les experts, il aurait fallu près de 300 ans d’un labeur continu, accompli par des générations d’artisans usant le cristal à l’aide d’abrasif au sable, pour obtenir un tel résultat !
Plus étonnant encore sont les propriétés optiques du crâne. En effet, une partie du palais joue le rôle d’un prisme : lorsqu’une source lumineuse est placée sous le crâne le prisme projette la lumière vers le haut et à travers les yeux.
Selon certains chercheurs, le crâne pourrait être l’oeuvre d’une technologie extraterrestre, comme le laisse à penser la qualité de la sculpture et la complexité du montage optique.
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Lisez ceci…
– New-York City comporte 11 lettres.
– New-York est l’Etat n°11 des USA.
– ‘The Pentagon’ comporte 11 lettres.
– Afghanistan comporte 11 lettres.
– Ramsin Yuseb comporte 11 lettres.
– George W. Bush comporte 11 lettres.
Vous me direz, jusque-là de simples coïncidences ? Alors continuons, et là ça devient vraiment bizarre…
– Le premier vol à se planter contre les Twin Towers était le vol 11.
– Le vol nº11 comptait 92 passagers, ce qui donne en additionnant 9 + 2 = 11.
– Le 2ème vol nº77, comptait 65 passagers, soit 6 + 5 = 11.
– La tragédie a eu lieu le 11 septembre, soit le 11/9 (1 + 1 + 9 = 11).
– La date coïncide avec le numéro des urgences 911 or 911 = 9 + 1 + 1 = 11.
Et maintenant encore plus bizarre…
– Le nombre de victimes dans les 2 avions s’élève à 254 passagers soit 254 : 2 + 5 + 4 = 11.
– Le 11 septembre est le 254ème jour de l’année soit : 2 + 5 + 4 = 11.
– A partir du 11 septembre il reste 111 jours jusqu’à la fin de l’année.
– Nostradamus (11 lettres) a prévu la destruction de New-York dans son chapitre 11.
Et voici le plus inquiétant…
– L’attentat de Madrid qui a tué 209 personnes (2 + 9 = 11) s’est produit le 11.03.2004 = 1 + 1 + 3 + 2 + 4 = 11.
– Enfin est-il utile de rajouter que les Twin Towers de par leur forme nous rappellent le chiffre 11 et que les trains de Madrid étaient programmés pour sauter à leur entrée en gare au moment où ils se croisaient (11 vu du dessus).