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Rétrospective : 2014, comme le Togo l’avait vécu !

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Des faits assez surprenants ont secoué l’année 2014 qui tire ses rideaux dans les jours à venir. Cette année a été une année spéciale, tant sur le plan économique que social, sur le plan militaire que sanitaire avec des crimes et châtiments dont on attend les suites. Les unes, suites tombées dans l’impunité aberrante, les autres jugulées mi figue mi raisin, émouvantes et époustouflantes, les péripéties factuelles de 2014 ont parfois fait craindre le pire. Braquage, assassinat de filles, rendez-vous du sexe, l’année n’a pas été que scandaleuse : la diplomatie a retrouvé ses lettres de noblesse, Washington et New-York étaient au rendez-vous de l’histoire politique, la sécurité maritime ont rimé avec le club diplomatique de Lomé. Quoi de neuf à la justice, Pascal Bodjona est retourné en prison : dérives judiciaires dénoncées. Quoi de neuf dans l’hôtellerie, l’hôtel Sarakawa a connu du chamboulement. Les propriétaires français ont été expulsés. Bref, l’année a connu des rebondissements issus des dossiers étrangers : Boko-Haram a fait parler de lui au Togo et la leçon Burkinabè de Blaise Compaoré fait tache d’huile dans la politique togolaise. 2014 au Togo, histoire d’une péripétie enrichissante qui a des perspectives les plus positives qu’effarantes. VOICI…

Les richissimes commerçants des grands marchés de Lomé n’ont pas le choix de faire autrement. Pour acheter leurs produits de commerce sur le marché chinois de Dubaï, ils n’ont aucun moyen de déclarer l’argent liquide à transporter tout simplement parce que de l’autre côté, les transactions ne sont pas faites pour être formalisées. Pour déclarer le transport d’une somme importante vers l’étranger, il faut avoir le quitus de la banque qui tire sa commission, ensuite la BCEAO intervient pour prendre sa part, et le ministère des finances enfonce le clou. Si c’est une somme importante, on paye en frais près de 10%, ce qui n’est pas négligeable. Pour les commerçants en direction de Dubaï, c’est encore plus compliqué. Dubaï, c’est comme le grand marché. Les produits s’achètent en vrac sur le marché, et l’on ne connaît pas au préalable les boutiques fournisseurs pour obtenir les facture proforma et émettre les chèques ou encore moins les virements bancaires. C’est totalement de l’informel, or paradoxalement ce sont ces documents qui sont demandés par les banques et le ministère pour autoriser les transactions. La conclusion est logique, il faut trouver les moyens de transporter de l’argent liquide. C’est donc ce que font les commerçants du sahel qui confient leurs milliards à un des leurs pour aller les rattraper en Chine pour faire les achats. La transaction a mal tourné ce dimanche, lorsqu’El HADJ KABOUSSOU qui était installé dans le parking de l’aéroport de Lomé recevait les différentes sommes à transporter vers la Chine pour ses frères musulmans. Les fauves étaient tapis dans l’ombre et ont frappé sans pitié et à ciel ouvert en ce dimanche du mois de septembre. Ce fut le braquage le plus spectaculaire qui a causé la mort d’un agent de la gendarmerie, le commerçant s’est retrouvé avec trois balles dans le corps et a eu heureusement la vie sauve. Les ravisseurs dans leur fuite ont abattu à près de 100 mètres un pasteur à bord de son véhicule qui ne savait pas qu’en sortant sereinement de la station d’essence, il perturbait la fuite des voleurs avec des milliards de FCFA.

Fusils d’assaut au point sur des motos sans renommée, ils sont braqués à ciel ouvert, ont tué, terrorisé les populations avant d’emporter les milliards. Aujourd’hui, Inch Allah, Aladji se porte mieux et a repris ses activités. Ses frères musulmans ne lui en ont pas voulu et ont tout confié à Dieu tout puissant, solidarité islamique comptant.

Seule surprise dans ce dossier, les malfrats n’ont jamais été inquiétés et continuent leur fuite infernale sans s’en inquiéter. Le Ministère de la sécurité a ouvert une enquête qui n’a jamais été bouclée ce qui laisse à croire à l’incapacité ou à la complicité. Cet évènement du neuvième mois de l’année a fait plus parler de lui que plusieurs autres évènements précédents. Il a marqué son temps. C’était dramatique, aussi dramatique que l’assassinat de la fillette nommée Blessing par une dame pasteure du nom de Abalo Akossiwa.

C’était à Notsè où dame pasteure prétendait désenvouter la fillette d’une possession démoniaque, l’accusant constamment d’être une sorcière. Devant son mari père de la fille, elle et ses complices ont tenté d’effacer les traces du corps avant l’intervention de la police de Notsè. Elle et ses complices ont été jetés en prison dans une complicité suspecte du tribunal et du commissariat de police de Notsè.

A ce jour, rien n’a filtré des suites de ce crime qui continue de susciter des interrogations surtout que des rumeurs font état de la libération en catimini de la présumée coupable et de ses complices. Ce dossier a nourri l’actualité togolaise pendant ce mois d’octobre et met à rude épreuve la compétence de la justice en général et du tribunal de Notsè en particulier. Deux crimes sans châtiment qui remettent sur le tapis l’épineuse question des Droits de l’homme au Togo.

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Les frappes de la justice

Positivement ou négativement, c’est selon, la justice a fait parler d’elle au Togo, non seulement la justice togolaise mais celle des autres pays dont la France.

Le mois de juillet a secoué le groupe hôtelier Accor. C’est ce groupe qui exploitait l’Hôtel Mercure Sarakawa. Le gouvernement togolais par une action de justice a conclu que le groupe français se sucrait sur le dos de l’Etat togolais et était loin d’honorer ses engagements vis-à-vis du Togo en matière de restauration au standard acceptable de l’hôtel. Un petit matin de samedi, le groupe hôtelier a été expulsé manu militari. Toutes les transactions diplomatiques et politiques n’ont pas permis aux français de retrouver la gestion de Mercure Sarakawa qui est revenu à l’Etat togolais. Ce fut un scandale qui a intéressé la presse nationale et internationale au cours de cette année 2014. Un scandale qui en appelle un autre avec la mise en garde à vue du politicien franco-togolais Kofi Yamgnane dans une affaire de trafic de titre de séjour contre la minable somme de 3000 euros pour le candidat à l’élection présidentielle togolaise qu’il est. L’homme était tranquillement au Togo quand l’affaire a déclenché. Il a d’abord nié les faits avant d’aller se faire mettre au gnouf en France. Aujourd’hui, l’homme de Bandjéli reste à la disposition de la justice française pour répondre de ce grave acte de corruption.

C’est la page judiciaire de ce dossier qui autorise le retour du dossier de la République. Il concerne Pascal Bodjona, l’ancien ministre du gouvernement, ancien porte-parole du gouvernement, ancien proche des proches du Chef de l’Etat. Accusé dans une affaire d’escroquerie internationale dans laquelle Sow Bertin AGBA l’a maladroitement entraîné, l’homme se trouve être la seule victime de cette rocambolesque affaire ; Il avait déjà passé 7 mois à la gendarmerie. Libéré, ses sorties politiques ont de nouveau déclenché cette affaire dans des contorsions juridiques reconnues par la justice. Mais coup de théâtre, Pascal Bodjona sera admis à la prison de Tsévié, laissant femme et enfants dans une fastidieuse navette quotidienne de 70 km environ en aller et retour pour soutenir l’homme qui est présenté par l’un des acteurs du dossier, Loïk Le Floch Prigent comme innocent et victime. Tous les observateurs concluent à un acharnement politique contre un homme qui ferait ombrage au Chef de l’Etat.

Pascal Akousoulèlou Bodjona lui ne manque jamais de vouer sa fidélité au Chef de l’Etat mais restant prudent face à l’injustice qui lui est infligé. Le cerveau de l’affaire, Sow Bertin Agba a été arrêté  en Grèce, alors qu’il était poursuivi par un mandat d’arrêt. Il a fallu qu’il réussisse ses habiles tours de passe pour se délivrer d’une extradition vers le Togo. L’histoire raconte qu’il a réussi à quitter la Grèce pour s’installer en Afrique du Sud, là où ses pratiques et méthodes sont tolérées.

Tsunami à Ecobank, psychose de Boko Haram

A côté l’affaire de détournement de fonds à Ecobank Togo, le groupe panafricain ETI a connu des moments de tsunami qui ont failli enterrer la banque. La question de leadership, avec la protection des réseaux maffieux combattu par l’ancien Directeur général, l’ivoirien Thierry Tanoh a provoqué de véritables soubresauts à la banque qui ont fini d’emporter l’ivoirien. Il n’aura pas chômé, il a été très vite récupéré par la présidence de son pays comme Directeur de cabinet.

Aujourd’hui, il a fallu l’intransigeance personnelle du Fondateur de cette banque, Le président Gervais Djondo pour que Ecobank ne soit pas livré aux vautours et aux orties.

Malgré cette crise, la banque panafricaine a connu une croissance et une stabilité dans ses opérations.

La stabilité, elle n’était pas du tout de mise sur le plan international. La secte islamiste Boko Haram a troublé la tranquillité du monde entier en procédant au Nigéria à l’enlèvement de 200 jeunes filles élèves. La torpeur a gagné le monde entier. Le Togo n’était pas épargné par cette sortie spectaculaire de Boko Haram.

Une manifestation des organisations de femmes, comme dans le monde entier a réclamé la libération des jeunes filles.

A ce jour, la secte a fait la sourde oreille et continue de détenir ces filles innocentes et pire de les transformer en proie pour les attentats terroristes qu’elle multiplie à travers le Nigéria.

La secte Boko haram n’est pas seulement le mal dont souffre l’Afrique surtout subsaharienne. Depuis janvier 2014, l’Afrique de l’Ouest est frappé de plein fouet par cette fièvre à virus dénommé Ebola. La Sierra-Léone et le Libéria ont été les nids du virus avec la crainte de propagation à travers l’Afrique de l’Ouest. Levée de bouclier, mesures draconiennes, dispositions spéciales et drastiques pour barrer la route à Ebola.

Certains pays ont réussi le combat et n’ont pas connu un seul cas. Le Togo s’en frotte les mains en se faisant canoniser par les pays de la CEDEAO pour coordonner la lutte. C’est à Accra, au cours du sommet de la CEDEAO que Faure Gnassingbé, le Chef de l’Etat togolais s’est vu notifier la confiance des Chefs d’Etats. C’est sans doute un point pour une dynamique diplomatie togolaise. Celle incarnée par Robert DUSSEY au four et au moulin.

La diplomatie Togolaise a le vent en poupe depuis septembre 2013.

Le professeur Robert DUSSEY, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération n’a pas lésiné sur les moyens pour mettre la diplomatie togolaise sur le piédestal de l’innovation. Restructuration du cabinet, plate-forme de placement des togolais au sein des institutions internationales, obtention de l’annulation du visa avec la Malaisie et la Chine, lancement du Club Diplomatique de Lomé, Paris, Londres, Washington, ONU, Kosovo, Havane, UA ont été la cible de Robert Dussey. Résultats : la conférence internationale sur la sécurité maritime qui se tient au Togo en octobre prochain, la conférence sur la tolérance et l’extrémisme avec l’Université de Washington, plusieurs accords diplomatiques et économiques avec en toile de fonds, l’implication de l’Allemagne dans l’économie togolaise etc. La diplomatie togolaise se porte bien, en tout cas.

Politiquement votre…

La politique a logiquement marqué l’année 2014. Les sorties scandaleuses de leaders, les dissensions sur l’union de l’opposition, les tournées et campagnes des partis politiques n’ont pas manqué au cours de cette année 2014.

C’est le Président d’honneur du CAR, Me Yawovi Agboyibo qui a le plus fait parler de lui en tenant d’influencer encore le jeu politique pour se faire porter candidat de son parti contre l’initiative de la candidature unique.

En lieu et place du Président du parti à qui il a légué le poste, le Bélier noir s’invective encore pour se positionner sur la scène politique. C’est ce qui a motivé cette union de circonstance avec le parti du Pr Gogué, ADDI, ex allié de l’ANC qui a cru à l’aventure du leader du CAR. Une agitation qui a fini par verser à l’assemblée un projet de réformes qui est actuellement sur la table du gouvernement avant d’atterrir à la commission des lois de l’assemblée.

Reformes, elles sont dites de constitutionnelles et d’institutionnelles. C’est le mot d’ordre politique au Togo et c’est l’expression la plus utilisée en cette année 2014 en politique.

Elles concernent principalement la révision de la constitution pour limiter le mandat présidentiel et éviter à Faure Gnassingbé d’être candidat à sa propre succession.

Le projet de réformes adressé à l’assemblée nationale par le gouvernement a été, coup de théâtre balayé du revers de la main, suscitant du coup, contestations et manifestations.

Les dernières qui ont fait parler d’elles en 2014 sont celles qui ont opposé dans la rue les militants de l’opposition et les cadres du parti UNIR au pouvoir.

La sous région venait de sortir, avec étonnement de la chute du Président burkinabè. Une chute de Blaise Compaoré qui nourrissait l’espoir pour le peuple togolais de s’affranchir par la même méthode populaire et qui a donné des frissons au pouvoir.

Equilibre des forces, sans doute avec des moyens disproportionnés. Les deux manifestations se sont déroulées comme prévues sauf que du côté des forces de l’opposition, elle était couplée d’une bonne dose d’agents déployés pour mater la poursuite jusqu’à la chute.

L’exacerbation est donc née dans la revendication et la réclamation des réformes constitutionnelles et institutionnelles. A ce jour donc, on continue de vivre dans des rêves des reformes qui tardent à venir et dont l’absence compromet dangereusement la prochaine élection présidentielle.

2014 a été très politique, avec des sorties et des messages de leaders politiques. Le plus jeune des leaders et des partis nés est le parti des Togolais. Alberto Olympio est monté sur scène et promet de remporter le scrutin. Son entrée en politique avec son élection comme candidat de son parti n’est pas passée inaperçue. Il constitue, face à sa ligne, à sa méthode, à ses sorties, une force de poids redouté par les acteurs politiques déjà existants.

Lui, ne veut pas se faire attribuer la tare de ne point fonctionner sur un programme politique. Alberto Olympio a résumé son programme dans son livre, ‘’Je prends le parti des togolais’’ qui est d’ores et déjà le bréviaire pour sa tournée et ses sorties. Les leaders pensent qu’ils feront avec ce jeune informaticien en 2015, la scène politique aussi le sait.

La crainte, la seule crainte reste la gestion de la période post électorale. En 2005, c’est à coup de kalachnikovs que les militaires sont intervenus pour mater une opposition qui réclamait la victoire de son candidat. Quelle sera donc l’attitude de l’armée en 2015?

Elle sera fixée sur les reformes profondes assignées à cette armée par le Chef de l’Etat lui-même qui a fait le tour des garnisons, qui a créé des commandements décentralisés, qui a déplacé les uns et les autres des officiers de l’armée bref, Faure Gnassingbé a réorganisé l’armée.

Républicaine ? Civique ? Les plus sceptiques sont sûrs d’une chose : Il s’agit d’une armée réorganisée pour la cause électorale.

Mais cette armée a besoin de s’imprégner suffisamment des notions de la formation civique, étant donné que le mois d’octobre passé a été consacré par le gouvernement comme le mois de l’éducation civique au Togo. Tous doivent s’y conformer pour relever le défi de la carence de l’éducation civique. Malheureusement, plusieurs activités à l’ordre du jour ont donné dans le fiasco total. En témoigne les journées Togo propre qui n’ont concerné que ceux qui l’ont lancé.

2015 pointe à l’horizon, et l’année sonne comme une année de tous les défis, de tous les enjeux. De la continuité ou de l’alternance. Le pouvoir redoute la prise de pouvoir par la rue, l’opposition redoute la sortie de l’armée pour massacrer les populations dans une atmosphère où les garnisons, elles-mêmes ne sont pas sûres d’être en sécurité.

La preuve, au cours de cette année 2014, il y a eu des situations assez graves largement commentées qui ont affecté les garnisons. La disparition des armes lourdes et des munitions au sein des garnisons, notamment de celle de Pya.

A ce jour, aucune lumière, du moins officielle n’a été faite sur la destination des armes et munitions disparues, ainsi que les auteurs du vol.

Ce qui laisse encore perplexe les observateurs sur le risque de remake de 2005 l’année prochaine. Où sont donc passées les voleurs des armes et munitions ? L’histoire des suspects arrêtés à Sokodé dans la foulée s’est estompée comme les nuages et l’inquiétude demeure. 2014 aura également vécu cela.

2014, on ne bouclera pas cette année extraordinaire sans s’intéresser un peu aux questions, de petites mœurs de Gaspard Baka. Le manager de ce rendez vous de sexe dénommé Miss Togo.

D’après des témoignages recueillis auprès des prestataires de cet évènement, il s’agit du proxénétisme pur et dur. Les filles sont invitées, accompagnées du promoteur Baka à circuler de bureau en bureau pour les plus offrants. C’est le commerce du sexe qui se voit vertement critiqué jusque sur sa forme organisationnelle. C’est sûr, Miss Togo ne se déroule pas au Togo comme dans les autres pays. Il y a une affaire de caleçon qui mine l’organisation togolaise. Le fait a intéressé plusieurs togolais en cette année 2014.

L’année 2014 se termine plutôt dans le deuil. La fille du milliardaire Bagna Ogamon nommé Bamondi est décédée ce week-end. C’en est une mort de trop pour ce vieil argentier du pouvoir qui reste en vie à voir ses filles, pleines de charme et d’avenir mourir les unes après les autres. Quelque chose n’irait pas bien sur cette question. Triste nouvelle sans doute, couplée le même jour du décès de l’ancien Ministre Aïssah AGBETRA, et aussi d’un danseur du duo musical Toofan. En passant, parenthèse politique, le leader de l’ANC a perdu sa chère mère Dovi Hélène Fabre, mobilisation du parti autour de son leader pour rendre les derniers hommages à celle qui est présentée comme une femme idéale.

Des décès qui viennent couronner une année très riche en décès par accident. Le plus intrigant étant l’accident à la lisière d’Atakpamé qui a occasionné sur le coup une quarantaine de victimes togolaises et burkinabè. Ce fut l’hécatombe sur les routes togolaises entre mars et mai 2014. Accidents en cascade, morts à gogo, spectres hideux de désolation et d’angoisse qui ont obligé le chef de l’Etat qui a décrété l’année 2014 comme l’année de la sécurité routière.

Trop de morts pour laisser passer les usagers sans casques et sans ceinture de sécurité. L’appel a eu écho favorable, les résultats sont probants.

Ceux qui ont survécu devraient rendre grâce, puisqu’ils ne méritent pas nécessairement de résister à toutes ces épreuves au cours de l’année 2014….

« Oh Marie conçue sans péchés, Priez pour nous qui avons recours à vous ! »

Joyeuses fêtes de fin d’année

Carlos KETOHOU

 

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